Que mourait Jeanne Moreau il y a deux ans. Parfois me vient l’envie de réécouter pour la centième fois quelques unes des merveilleuses chansons qu’elle interpréta sur des paroles d’Cyrus Bassiak (Rezvani), ces petits bijoux des années 60 qui traversent le temps sans prendre la moindre ride : « Que m’importe le temps qui passe / Et s’éloigne nulle part / Le doux présent nous enlace / Tant qu’aimer n’est pas trop tard… »