Que mourait Paul-Jean Toulet en 1920. J’aime assez cette poésie qui oscille entre sourire délicat et mélancolie légère : « Puisque les jours ne t'ont laissé / Qu'un peu de cendre dans la bouche, / Avant qu'on ne tende la couche, / Où ton cœur dorme, enfin glacé, / Retourne, comme au temps passé, / Cueillir, près de la dune instable, / Le lys qu'y courbe un souffle amer / - Et grave ces mots sur le sable: / Le rêve de l'homme est semblable / Aux illusions de la mer. »