Que naissait Jean Proal en 1904. Son œuvre fut éclipsée par celles de Giono ou de Ramuz dans la lignée desquels on le situe volontiers. C’est dommage. Il a écrit de belles pages sur la montagne dont le célèbre : «… la montagne donne de bonne heure à l'homme le sens de ses limites. »
Mais aussi ceci : « Mais nulle fête n'est aussi précieuse, aucune n'est aussi merveilleusement gratuite, donnée, offerte, que celle de cette première fleur vivante dans un monde si délicatement minéral. »