Que naissait François Bott en 1935.
En feuilletant le numéro 26 de la revue Le fou parle, il parle de La traversée des jours. Parfait, c’est pour ce blog. Le 27 juin d’on ne sait quelle année, il écrivait : « - Pourquoi écrivez-vous ? / - Parce que, dans les textes qui me travaillent, j’ai parfois le plaisir de rencontrer un étranger. »
C’est bien ce que je voulais lire ce soir.
Sinon j’ai aussi écrit ceci : « Les jours, petites statuettes de bois, les demains, les après, les avant, les on ne sait plus lequel c'était, les c'était quand déjà, petites statuettes de bois, les qui encombrent la mémoire, les inutiles, les encombrants, les attendus, trop attendus, les décevants au final, les remerciés, petites statuettes de bois soigneusement posés sur la cheminée, natures mortes qu'on ne regarde presque jamais ou alors quand on touche vraiment le fond. Quant à dire si on a tort ou raison de ne jamais les regarder... »