Que naissait Xavier Grall en 1930. Je le relis parfois pour chercher quelque chose de nos identités quelque part entre cheval d’orgueil et cheval couché et une forme de flamboyance.
« Je m'en reviendrais, / avec ma musette pleine de larmes, de livres et de rêves. / Et à mon tour je dévorerai l'Inconnu / dans une ineffable et éternelle étreinte. / Je m'en viendrai avec la souvenance des paysages et des peuples. / Chanteront les mers, danseront les galaxies, tressailliront les peuples. / Donner, se donner. / Nous sommes tous dans la main du Grand Amant / et les premiers balbutiements de notre adoration / sont les premiers moments de notre dignité. »