Que mourait Francis Carco en 1958. Ses écrits parlent de pluie et de bohème, de ruelles sombres, de bistrots et de ports, de vie la nuit et de navires en partance, avec parfois une nuance d’humour légèrement triste. Un roman, quelques poèmes de lui de temps en temps, je vous conseille si je peux me permettre, ça fait du bien au cœur.
L’occasion aussi d’écouter une chanteuse qu’on n’écoute plus, Valérie Ambroise, écoutez sa voix chaude et grave interpréter Brassens ou la chanson pour le vieux si vous avez un moment (https://www.youtube.com/watch?v=a8lTLb2IsY4 ), mais puisque c’est de Carco qu’il s’agit, un coup d’orgue de barbarie et de souvenir de bohème avec quelques lilas sera parfait pour le spleen du dimanche soir :