Que Thierry Metz, poète maçon, se donnait la mort en 1997. C’est Lionel Mazari qui m’avait fait connaître L’homme qui penche dont il faisait des lectures au début des années 2000.
« Un homme marche dans les feuilles, non loin du pavillon. Il se déplace si lentement, avec tant de précautions qu'il ne s'aperçoit pas qu'un arbre le suit. »
Puis j’ai lu Le journal d’un manœuvre, « Du bruit toute la journée. On ne sait pas ce qui se passe. Quelqu'un fait des gestes. Il gagne son pain. / C'est tout. »
M’ont fait du bien ces mots au plus près de l’être toujours à portée de sanglot.