Que mourait Blaise Cendrars en 1961. Moi qui ai horreur des voyages, il y a 22 ans j’apprenais par cœur sa Prose du Transsibérien. Je ne l’ai jamais oubliée. C’est un poème que je me répète parfois en voiture ou bien au cours d’une randonnée. On en avait fait un spectacle avec Dominique Oury. Il est pas mal je crois.
« Être ici, ou ailleurs, en liberté ou en prison, l'important c'est de se sentir heureux ; d'extérieure, la vie devient intérieure, son intensité reste la même et, vous savez, c'est bizarre où le bonheur de vivre va parfois se nicher. » (Moravagine)