Que se sont donné rendez-vous pour mourir en grappe Johnny Halliday et Jean d’Ormesson l’année dernière, mais plus ou moins avant eux, Nelson Mandela, Claude Monet, Alexandre Dumas ou Wolfgang Amadeus Mozart. C’est trop pour moi. Je m’en suis allé feuilleter le dernier numéro de la revue « Traction Brabant » de l’excellent Patrice Maltaverne (lisez donc son édito : http://traction-brabant.blogspot.com/) et j’en ai tiré ces vers du nez de Michel Talon page 17 : « Je suis ailleurs / au moment où je te parle. / On se rencontre / dans des hôtels à nostalgie. / Les araignées ont tissé / des vitraux pour le vent. / … / On a tous l’histoire / qu’on ne raconte pas… »